Mises à jour documentaires 01 mars 2016


La base documentaire s'étoffant de plus en plus, il est parfois difficile d'y repérer les nouveaux documents.
Voici donc les ajouts pour janvier et février 2016

Bonne lecture !


  • Climat et biodiversité

Aucun des scénarios proposés par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, le GIEC, n’envisage une évolution favorable de la biodiversité. Ces travaux ne prennent cependant en compte qu’une part limitée des espèces vivantes et de la complexité du fonctionnement des écosystèmes ; ils n’intègrent notamment ni les capacités de réponse et d’adaptation de la biodiversité, ni les interactions entre la réponse des espèces au changement climatique et le changement climatique lui-même, interactions susceptibles de produire des impacts différents.
le point sur climat et biodiversité (PDF - 886.7 ko)

 
 
  • Des pratiques pour limiter l’utilisation des pesticides

Le programme « Évaluation et réduction des risques liés à l’utilisation des pesticides » du ministère en charge de l’écologie, désormais intégré dans le plan Écophyto II, a permis de mener des recherches sur différents types de pratiques contribuant à limiter l’utilisation des pesticides. Ce document s’adresse aux professionnels impliqués dans la gestion des pesticides qui souhaitent acquérir des connaissances récentes sur le sujet.
le point sur des pratiques pour limiter l’utilisation des pesticides : apports du programme de recherche « Pesticides » (PDF - 3 Mo)

 
 
  • Les chiffres clés de l’eau et de les milieux aquatiques

Les informations présentées dans ce livret visent à dresser un panorama concis de la situation de l’eau et des milieux aquatiques à travers une sélection de données synthétiques, couvrant la plupart des enjeux.
 
  
 

  • Eaux et territoires agricoles : dépasser les contradictions ?

Le programme de recherche eaux et territoires a pour ambition, d’une part, d’acquérir et de mettre en relation les connaissances scientifiques relatives au fonctionnement des hydrosystèmes et celles qui portent sur les territoires et, d’autre part, d’éclairer les politiques publiques, actuelles ou à venir, portées par les acteurs de la gestion des territoires et de la gestion de l’eau. Ce programme est piloté par trois partenaires qui apportent les spécificités de leurs positionnements complémentaires sur tout le continuum allant de la recherche à la mise en oeuvre de l’action publique. Il s’inscrit particulièrement dans le cadre de la mise en oeuvre de la directive cadre sur l’eau et vise à une meilleure intégration des politiques. Le traitement des problématiques liées à l’eau suppose tout à la fois approche systémique du couple eau et territoire et approches interdisciplinaires entre sciences de l’univers, sciences de la vie et sciences économiques et sociales. Cette publication met l’accent sur sept des vingt projets retenus depuis 2008 dont elle présente les résultats en trois parties : pollutions diffuses, zones humides et gestion intégrée.
 
 
  
  • Nature et richesse des nations

S’il est communément admis que le PIB est un indicateur imparfait et que la nature est un ingrédient décisif d’une croissance, il n’existe pas aujourd’hui de « vision partagée » sur la bonne façon de mesurer et d’intégrer la nature dans la « richesse des nations ». Ce qui est en jeu est la possibilité d’une croissance inclusive et soutenable. Cette édition de la Revue du CGDD vise à exposer l’état des savoirs sur le « capital naturel ». Elle propose tout d’abord une réflexion interdisciplinaire sur les relations homme-nature-société, et sur la mise en forme économique du rôle de la nature dans la croissance. Une telle ambition conduit à revisiter le principe de la valeur des biens publics et des biens communs, comme le climat et la biodiversité, qui participent à la richesse des nations.
 
 
 
  • Les comptes de l’environnement

En 2013, les ménages, les entreprises privées et les administrations publiques ont dépensé 47,2 milliards d’euros pour la protection de l’environnement, soit 1,8% de plus qu’en 2012. Globalement, sur la période 2000-2013, cette dépense a augmenté plus rapidement que le produit intérieur brut (PIB) : +4% en moyenne annuelle pour la dépense de protection de l’environnement contre +2,8% pour le PIB. En lien avec les préoccupations environnementales croissantes de la société, l’action publique a contribué à cette hausse soutenue par des mesures incitatives (dispositif bonus/malus par exemple) et par la réglementation. Cette dernière conduit, en particulier, à une amélioration technique des procédés utilisés (collecte sélective des déchets, mise aux normes des stations d’épuration…) qui participe à la progression de la dépense.
 
  
 
  • La dépense de protection de l’environnement

En 2013, l’ensemble des dépenses consenties pour la protection de l’environnement par les ménages, les entreprises privées et les administrations publiques représente 47,2 milliards d’euros. La gestion des déchets (35%) et l’assainissement des eaux usées (27%) constituent les principaux postes de ce total. Par rapport à 2012, la dépense de protection de l’environnement croît de 1,8%. La progression du coût de la gestion publique des déchets ménagers, la hausse des ventes de véhicules électriques et l’augmentation de la proportion de biocarburants incorporés dans les carburants classiques contribuent à cette croissance.
 
 
 
  • Les pollutions par les engrais azotés et les produits phytosanitaires : coûts et solutions

Cette étude vise à recenser les externalités liées à l’utilisation en agriculture de produits phytosanitaires et d’engrais azotés, ainsi que les instruments mis en place pour les réduire. Elle résulte d’un travail de documentation effectué au niveau interministériel.
 
 
 
  • L’occupation des sols en France : progression plus modérée de l’artificialisation entre 2006 et 2012

L’édition 2015 de Corine Land Cover met en évidence les grandes tendances de l’évolution de l’occupation des sols en France. Le rythme de croissance de la surface des terres artificialisées en métropole s’établit, entre 2006 et 2012, à + 0,49 % par an. Il est nettement inférieur à celui observé entre 2000 et 2006 (+ 1,30 % par an). La population métropolitaine, en comparaison, croît de 0,53 % par an. Au-delà de cet enseignement important, cette nouvelle édition de Corine Land Cover offre une photographie complète de l’occupation des sols français en 2012.
 
 
 
  • Hydrogène dans la transition énergétique (ADEME)

L'hydrogène produit à partir de ressources renouvelables peut apporter une contribution importante à la transition vers un modèle énergétique décarboné, notamment dans les secteurs du transport et du stockage d'énergie.
Dans le secteur du transport, l'hydrogène est une solution d'ores et déjà disponible pour accompagner le développement de l'électromobilité.
Le processus d'industrialisation déjà engagé doit se poursuivre pour permettre la baisse des coûts de certains composants et le développement d'innovations de produits et de services.
Le déploiement de l'hydrogène énergie doit se faire dans une logique de mise en adéquation entre les besoins en énergie des consommateurs et les ressources renouvelables d'un territoire.

 
  • Quelques articles :

 
  • Et de nouveaux guides pour le potager :