La Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE)





La Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) est l'application du développement durable par les entreprises. Ce concept suppose qu'elles intègrent dans leurs activités des préoccupations sociales, environnementales, et économiques. La RSE s'applique aux multinationales cotées, comme aux petites et moyennes entreprises.




1. Définitions et objectifs



La RSE suppose que les entreprises intègrent dans leur stratégie des problématiques environnementales comme le changement climatique ou la raréfaction des ressources. Elle implique aussi d’aller au-delà de leurs obligations légales pour adopter des politiques de diversité et respecter les droits humains. La RSE concerne des sujets très variés dont l’importance est déterminée par le secteur de l’entreprise et son implantation géographique.
 
La RSE contribue à la performance économique de l’entreprise puisqu’elle lui permet d’identifier et prévenir les risques auxquels elle est le plus exposée et de concevoir les produits et d’adopter des modes de productions adaptés aux évolutions fortes et rapides de son marché.
 
La RSE suppose que les entreprises déterminent leur stratégie en tenant compte de leurs parties prenantes. Cela va des salariés aux investisseurs, en passant par ses fournisseurs et ses clients, sans oublier les ONG et les communautés locales.





PARTIES PRENANTES



  • Les salariés

Ils sont les premiers concernés par les politiques RSE des entreprises. Elles s’appliquent aux conditions de travail, à la lutte contre la discrimination mais aussi à l'équilibre entre vie familiale et vie professionnelle, au bien-être au travail, à la diversité et la mixité des équipes.
 
Les ressources humaines sont considérées comme un élément fondamental de la valeur immatérielle de l’entreprise. La formation des salariés et leur implication dans la stratégie RSE de l’entreprise contribue à développer l’engagement, la motivation et la loyauté des salariés envers l’entreprise ainsi qu’à attirer et conserver les meilleurs talents.
 
Facteur de dialogue et d’innovation, la RSE suppose des modes de management transversaux et non pyramidaux et facilite l’existence de réseaux, à l’intérieur comme à l’extérieur de l’entreprise.
 
Des accords contractualisant les politiques sur la RSE ont été négociés par une centaine de grands groupes avec les organisations syndicales.
 
 

  • Les fournisseurs

Les fournisseurs font partie de la « sphère d'influence » des entreprises. En tant que donneur d'ordre, l'entreprise est considérée comme co-responsable des activités de ses sous-traitants et de leurs impacts sociaux et environnementaux. Elle est tenue de contrôler l'application des référentiels, normes ou codes de conduite qu'elle a mis en place dans l'ensemble de sa chaîne de production.
 
Les politiques d'achats responsables se répandent dans les grands groupes ce qui permet aux plus petites entreprises d'être sensibilisées à la RSE ou de valoriser leurs démarches si elles ont déjà été mises en place.
 
Audits sociaux et responsabilités en cascade
 
Le recours massif à la sous-traitance dans les pays émergents est une source de risque importante pour la crédibilité des politiques RSE des grands groupes.
 
Pour s'assurer que les conditions de travail sont décentes chez leurs sous-traitants, ils réalisent des audits sociaux, plus particulièrement dans le secteur du textile, du jouet ou de l'électronique. Les « responsabilités en cascade » font que les entreprises qui sélectionnent leurs fournisseurs selon des critères sociaux et environnementaux peuvent avoir du mal à s'assurer que ces critères sont bien respectés chez les sous-traitants de leurs propres sous-traitants.
 
Dans cette configuration les audits sociaux montrent leurs limites, plus particulièrement lors de catastrophes comme l'effondrement de l'immeuble du Rana Plaza au Bangladesh en 2013 dans lequel sont morts plus de 1000 ouvriers du textile. Ils réalisaient des commandes pour la plupart des grandes marques occidentales dont beaucoup ont affirmé ignorer que ces ouvriers travaillaient pour elles.

 

  • Les clients

La demande de produits durables, non toxiques et fabriqués dans des conditions de travail décentes, a considérablement augmenté. Les consommateurs sont de plus en plus demandeurs de traçabilité et de transparence sur les impacts environnementaux et sociaux des produits et exercent une pression pour que les informations soient vérifiables par des tiers externes et donc crédibles. C'est ce qu'on appelle le « pouvoir du caddie ».
 
En cas de problème, les ONG peuvent appeler au boycott des produits d'une entreprise pour protester contre leurs conditions de fabrication. Elles ont par exemple attaqué des campagnes de communication qui mettaient l'accent sur les qualités vertes d'un produit qu'elles estimaient factices. C'est ce qu'on appelle du « greenwashing ».
 
 

  • Les actionnaires

Les investisseurs responsables adeptes de l'ISR recherchent des entreprises ayant un haut niveau de pratiques RSE. Ils les analysent sur des grilles sectorielles de critères ESG (pour Environnement, Social et de Gouvernance). Elles leur permettent comprendre en quoi ces entreprises limitent certains risques et savent identifier les nouvelles sources de création de valeurs.
 
Il s'agit souvent de grands investisseurs institutionnels qui, au plan international, ont adhéré aux Principes pour l'Investissement Responsable des Nations Unies avec ces six principes dont les signataires s'engagent à prendre en compte des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) dans l'ensemble de leur gestion.
 
Engagement actionnarial
 
Les actionnaires peuvent utiliser l'analyse ESG dont ils disposent pour poser des questions aux entreprises. Ils peuvent aussi utiliser leurs droits d'actionnaire pour influencer les pratiques des entreprises et/ou dialoguer avec le management sur des problématiques de développement durable. Certains actionnaires vont même, en cas de refus de l'entreprise, jusqu'au dépôt de résolution ce qui porte le débat devant l'assemblée générale. Ils peuvent aussi exclure de leurs portefeuilles les entreprises les plus controversées. Sur certaines thématiques comme le climat, l'énergie ou les conditions de travail chez les sous-traitants, les actionnaires peuvent agir en coalitions, ce qui leur permet de mieux se faire entendre des entreprises.
 
 

  • Les ONG

Les ONG utilisent souvent la RSE mais plutôt dans le cadre d'actions d'interpellation, de dénonciation, voire de boycott. Elles participent aussi à des organisations de concertation, comme le Forum multipartite sur la RSE instauré par la Commission européenne ou le Grenelle de l'environnement organisé en France en 2007.
 
Sur certains sujets, les ONG environnementales produisent des contre-expertises scientifiques qui provoquent des débats et leur permettent de jouer un rôle de lanceur d'alerte.
 
Elles se sont souvent constituées en réseaux. On peut citer, en France, le Forum Citoyen pour la RSE, le Réseau Action Climat ou, en Europe, la Coalition Européenne pour la Responsabilité Sociale et environnementale des Entreprises (ECCJ). Les ONG servent aussi souvent de lien dans les relations avec les communautés locales dont elles prennent la défense.
 
 


  • Les communauté locales

L'implantation des entreprises dans les territoires nationaux et internationaux suppose que leurs activités soient acceptées par les riverains et les communautés locales et qu'elles obtiennent ainsi un « Licence to operate ».
 
Dans ce domaine, la RSE nécessite en premier lieu l'identification des communautés impactées par les projets des entreprises et l'organisation d'un dialogue pour en favoriser l'acceptation et prévenir les risques de conflits.
 
La RSE se traduit également par des programmes à destination des populations locales – développement, soutien à la création d'entreprises, aide aux infrastructures publiques, écoles, hôpitaux, etc.
 
Le secteur des industries extractives est particulièrement confronté à l'impact local de ses activités, qu'il s'agisse d'impacts environnementaux, sociétaux ou de gouvernance, notamment dans les pays émergents où la population bénéficie rarement des revenus liés à l'exploitation des ressources pétrolières, gazières ou minières. La redistribution des revenus, la réhabilitation écologique des sites et la prise en compte des droits humains font partie des stratégies de RSE à mettre en œuvre par les entreprises dans leurs relations avec les communautés locales.


LA PLATEFORME RSE



En France les parties prenantes de la RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises) sont représentées au sein d'une plateforme RSE. Lancée en 2013, elle est rattachée au Premier ministre. Sa vocation est d'être un lieu de concertation entre représentants de l'Etat et de la société civile autour des nombreux aspects de la RSE. Elle doit notamment aider le gouvernement à se doter d’un « plan ou liste d’actions prioritaires visant à promouvoir la RSE dans le contexte de la mise en œuvre de la stratégie Europe 2020 ».
 
La plateforme compte une cinquantaine de membres, représentants d’organisations actrices de la RSE. Ils sont organisés en 5 pôles : le pôle économique (Medef, CGPME, Observatoire de la RSE (ORSE), Collège des directeurs développement durable…), le pôle société civile (Amis de la Terre, Forum citoyen pour la RSE...), le pôle syndical (CFDT, CGT, FO, CGC-CFE, Unsa…), le pôle public (ministère du Développement durable, de l’Economie, députés, sénateurs, Association des régions de France, etc.) et enfin le pôle académique (chercheurs, universitaires, experts).
 
La plateforme RSE fonctionne par groupes de travail thématiques (Compétitivité & RSE, transparence, chaîne de valeur, Reporting/ISR/gouvernance). Un bureau composé de 13 membres assure le pilotage de la plateforme. Le président et les vice-présidents sont élus par le bureau. Ils exercent des fonctions d’animation et de représentation. Ils sont appuyés par le Secrétaire permanent, Michel Doucin.






2. Référentiels



La RSE conduit les entreprises à prendre des engagements qui vont au-delà du respect de la loi dans les pays où elles opèrent. Ils s'appuient sur des normes et de référentiels internationaux. Le cadre que doivent respecter les entreprises est posé par conventions internationales comme celles de l'OIT, les Principes directeurs de l'OCDE ou la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme.
 
ISO 26 000 est le cadre de référence international sur la RSE.

  
  • Le Global Compact


Ce « Pacte mondial » constitue en quelque sorte les 10 commandements de la RSE que doivent respecter les entreprises. Né d'une initiative internationale lancée en 1999 par le Secrétaire Général des Nations Unies, le Global Compact propose aux entreprises membres d'adhérer à 10 grands principes dans les domaines des droits de la personne, du travail, de l'environnement et de la corruption. Le dixième principe a été ajouté en 2004.
 
Les 10 principes du Global Compact :

  1. Les entreprises sont invitées à promouvoir et à respecter la protection du droit international relatif aux droits de l'homme
  2. Les entreprises sont invitées à veiller à ne pas se rendre complices de violations des droits de l'homme
  3. Les entreprises sont invitées à respecter la liberté d'association et à reconnaître le droit de négociation collective
  4. Les entreprises sont invitées à contribuer à l'élimination du travail forcé ou obligatoire
  5. Les entreprises sont invitées à contribuer à l'abolition effective du travail des enfants
  6. Les entreprises sont invitées à contribuer à l'élimination de toute discrimination en matière d'emploi et de profession
  7. Les entreprises sont invitées à appliquer l'approche de précaution aux problèmes touchant à l'environnement
  8. Les entreprises sont invitées à prendre des initiatives tendant à promouvoir une plus grande responsabilité en matière d'environnement
  9. Les entreprises sont invitées à favoriser la mise au point et la diffusion de technologies respectueuses de l'environnement
  10. Les entreprises sont invitées à agir contre la corruption sous toutes ses formes, y compris l'extorsion de fonds et les pots-de-vin

Depuis 2003, les entreprises signataires doivent publier des bonnes pratiques dans au moins l'un des dix principes du Pacte sous peine d'être exclue de la liste des signataires. Au 1er janvier 2014, plus de 8000 entreprises avaient signé le Global Compact dans 145 pays.
 
 

  • Les principes directeurs de l'OCDE


Ces principes sont l'instrument le plus complet sur la RSE qui s'applique aux entreprises multinationales.43 Etats se sont engagés à les faire respecter par les entreprises opérant sur leur territoire.
 
Une révision importante de ces Principes a été réalisée en 2011. Elle portait notamment sur la question du respect des droits humains. Pour veiller au bon respect de ces principes, chacun des pays adhérents a mis en place des Points de Contacts Nationaux (PCN) auxquels s'adressent souvent les ONG qui souhaitent mettre en cause les multinationales ayant commis des actes en violation de ces Principes.
 
 
 

  • La Global Reporting Initiative (GRI)


La Global Reporting Initiative (GRI) est une initiative internationale qui a progressivement proposé des standards de reporting extra-financier aux entreprises sur une base volontaire.
 
Elle a permis aux milliers d'entreprises qui l'utilisent dans le monde de partager le même référentiel selon le secteur de leurs activités.
 
Ces entreprises doivent intégrer les parties prenantes dans des rapports pertinents, exhaustifs, neutres, précis, comparables, clairs et contenant des données fiables.
En savoir plus : ICI
 


  • ISO 26 000


Il a fallu cinq ans de discussions qui ont réuni plus de 500 experts (entreprises, syndicats, associations de consommateurs, ONG…) venant de 90 pays pour faire aboutir la norme ISO 26 000. Non contraignante, cette norme n'est pas certifiable.
 
ISO 26 000 constitue la première définition de la RSE à l'échelle mondiale et doit s'appliquer à tout type d'organisation, entreprises, collectivités locales ou encore ONG. Sept domaines ont été définis : la gouvernance de l'organisation (la transparence, la responsabilité de rendre compte et le dialogue avec les parties prenantes) ; les droits de l'homme ; les conditions et les relations de travail ; l'environnement ; les bonnes pratiques des affaires; les questions relatives aux consommateurs ; l'engagement sociétal.
 
Pour chaque axe sont précisés les domaines d'actions. La grille de lecture est large et exhaustive, pour permettre de couvrir tous les impacts des entreprises, quelle que soit leur taille.
 
 En savoir plus : ICI




3. Reporting



L'idée de soumettre les entreprises à une obligation de reporting extra-financier progresse dans de nombreux pays. Elle permet de mesurer les impacts environnementaux et sociaux de leurs activités à travers des indicateurs qu'elles choisissent et d'objectifs qu'elles se donnent.
 
Les entreprises doivent intégrer, par exemple, dans leur reporting extra-financier, leurs émissions de CO2 ou leurs consommations d'énergie ou la répartition homme femmes de ces cadres dirigeants sans oublier les investissements dans la formation ou le nombre d'accidents du travail.

 
  • France


En France, l'article 116 la loi NRE votée en 2001 a instauré pour la première fois une obligation de reporting social et environnemental destinée uniquement aux entreprises cotées, sans l'assortir de sanctions.
 
Cette législation a été modifiée par l'article 225 de la loi Grenelle 2, adoptée en juillet 2010, qui élargit progressivement aux entreprises de plus de 500 salariés l'obligation de faire ce type de reporting.
 
Elle ajoute la nécessité de faire certifier ces données extra-financières par un tiers et introduit l'idée de pertinence des indicateurs laissée au libre choix des entreprises. Dans certains secteurs comme l'immobilier, les entreprises se sont concertées pour élaborer des guides pratiques d'application de l'article 225.
 
 

  • Europe


Mentionnée pour la première fois dans la stratégie de Lisbonne, en mars 2000, la RSE a depuis pris de l'importance dans le discours des institutions européennes. Première étape : le livre Vert « Promouvoir un cadre européen pour la RSE », publié en 2001 par la Commission Européenne. Il lance le débat entre les partisans des démarches volontaires laissant le plus de latitude possible aux entreprises et les tenants de la réglementation souhaitant établir un cadre fixant des obligations en terme de RSE.
 
Seconde étape, la « Communication de la Commission concernant la RSE» en 2002.
 
Un document d'orientation qui préconise un nouveau rôle social et environnemental pour les entreprises dans l'économie mondiale et lance le « Forum plurilatéral européen » avec des représentants des parties prenantes principales, syndicats, des entreprises, des investisseurs, des ONG, des chercheurs et des gouvernements nationaux sur six thèmes de travail : la consommation responsable, l'investissement responsable, les liens entre la RSE et la compétitivité, la transparence et le reporting, les droits de l'homme, ainsi que la dimension mondiale de la RSE.
 
En 2006, la Commission publie une nouvelle communication, confirmant la dimension volontaire qu'elle souhaite accorder à la RSE et excluant toute réglementation, y compris sur le reporting des entreprises.
 
En 2011, la Commission adopte une nouvelle stratégie sur la RSE et une nouvelle définition. Pour elle, la RSE est « la responsabilité des entreprises vis-à-vis des effets qu'elles exercent sur la société ». La Commission précise qu'il « convient que les entreprises aient engagé, en collaboration étroite avec leurs parties prenantes, un processus destiné à intégrer les préoccupations en matière sociale, environnementale, éthique, de droit de l'homme et de consommateurs dans leurs activités commerciales et leur stratégie de base. , ce processus visant à :

(1) la création d'une communauté de valeurs pour leurs propriétaires/actionnaires, ainsi que pour les autres parties prenantes et l'ensemble de la société;

(2) à recenser, prévenir et atténuer les effets négatifs potentiels que les entreprises peuvent exercer».
 
En avril 2014, une directive comptable introduit une obligation de reporting extra-financier pour toutes les entreprises cotées de plus de 500 salariés de l'Union Européenne et marque une nouvelle étape de construction pour la RSE européenne.
 
 
 
  • Reporting intégré


Le reporting intégré consiste à faire une présentation synthétique de la stratégie de l'entreprise en s'appuyant sur des données financières et extra-financières. L'initiative visant à créer un cadre international pour un reporting intégré est née en 2009. Elle est devenue une organisation à part entière, en 2012, et a mis en place un programme pilote associant entreprises et investisseurs.
 
La France y joue un rôle plutôt marginal.
 
 








4. Bonnes pratiques



La RSE étant une démarche volontaire, elle se développe par la généralisation de bonnes pratiques lancées par des entreprises pionnières susceptibles d'en entraîner d'autres.
 
Ce cercle vertueux est encouragé par diverses instances européennes comme CSR Europe et les réseaux qui se sont développés autour de la RSE. Il liste et diffuse les bonnes pratiques des entreprises.

 

  • CSR Europe


Né dans les années 2000 sous l'impulsion de Jacques Delors, CSR Europe est devenue une plateforme réunissant plus de 5000 entreprises fédérant un réseau de 80 organisations locales.
 
En 2010, CSR Europe a lancé son initiative Entreprises 2020 pour qu'elles contribuent à la stratégie globale de l'union.
 
 
 

  • ORSE


L'Observatoire de la Responsabilité Sociétale des Entreprises (ORSE) est le partenaire français de CSR Europe. Fédérant les diverses parties prenantes (entreprises, syndicats, investisseurs), l'ORSE a monté des groupes de travail thématiques plus particulièrement sur la finance et sur les medias. Ils élaborent des guides pratiques. Pour le secteur financier, l'ORSE propose des lignes directrices sur les sujets sensibles qui définissent un standard minimum.
 
 
 
 

  • Le réseau Alliances


Basé dans la région Nord Pas de Calais, il a développé depuis plus de dix ans une base de données de bonnes pratiques de plusieurs centaines d'entreprises, consultable librement. Elles sont classées en fonction des sept thématiques d'ISO 26 000

  1. Gouvernance : Manager son organisation avec transparence
  2. Droits de l'Homme : Respecter les droits essentiels de la personne
  3. Relations et conditions de travail : Valoriser l'Homme
  4. Environnement : Préserver la Planète
  5. Bonnes Pratiques d'affaires : Etre acteur loyal et responsable sur les marchés.
  6. Consommateurs/clients : Respecter leurs intérêts.
  7. Engagement sociétal : Allier les intérêts de l'entreprise et ceux de la Communauté